Le mystère entourant la disparition tragique du petit Émile a connu un rebondissement inattendu après la découverte de ses ossements par une randonneuse.

UNE RANDONNEUSE A TROUVÉ LES OSSEMENTS DU PETIT ÉMILE
Au cœur des montagnes escarpées du Haut-Vernet, c’est une randonneuse locale qui est tombée sur un crâne humain, non loin de l’endroit où Émile avait été vu pour la dernière fois.

LA RANDONNEUSE A TRANSPORTÉ LES OSSEMENTS À LA GENDARMERIE
Face à cette découverte macabre, et dans une zone dépourvue de couverture cellulaire, elle a pris la décision de transporter les restes jusqu’à la gendarmerie de Seyne-les-Alpes, située à une vingtaine de minutes de route.

LES OSSEMENTS ONT BIEN ÉTÉ IDENTIFIÉS
Là, les ossements ont été rapidement envoyés à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) pour analyse, confirmant qu’il s’agissait bien du petit Émile.

UNE ZONE DIFFICILE D’ACCÈS
Cette initiative, bien que controversée, a été dictée par les circonstances exceptionnelles : une zone difficile d’accès et l’absence de signal téléphonique.

UN CHOIX DÉLIBÉRÉ DE LA RANDONNEUSE
Selon des informations recueillies par l’AFP et relayées par Le Parisien, la randonneuse aurait déclaré que sa décision de prendre le crâne avec elle visait à accélérer le processus d’identification et d’enquête, bien qu’elle ait pu potentiellement altérer des indices cruciaux sur la scène.

L’ENQUÊTE SE POURSUIT
La confirmation de l’identité d’Émile a relancé l’enquête sur sa disparition et sa mort, avec une focalisation renouvelée sur le Haut-Vernet.

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