Le soleil déclinait à l’horizon, teintant la maison de Steve et Margaret d’une lumière orangée. C’était dans cette atmosphère presque pittoresque qu’Alice, la mère de Steve, lançait ses premières critiques acerbes de la journée. “Va le dire à ta femme… Je la vois toujours en train de câliner le bébé, et elle n’a rien cuisiné”, grognait-elle, instillant une tension palpable dans l’air. Steve, quant à lui, ne manquait pas de saisir chaque opportunité pour souligner l’oisiveté perçue de sa quatrième épouse, Margaret, une jeune mère en proie aux défis de sa première maternité. “Même les robots font plus de travail que toi !” raille-t-il, laissant Margaret en proie à une détresse silencieuse.

Margaret, épuisée, tentait de jongler entre les exigences incessantes de son mari et de sa belle-mère, et les besoins de son nouveau-né. Leurs demandes étaient incessantes, allant de la préparation des repas au repassage des costumes de Steve, sans jamais un mot de reconnaissance pour ses efforts. “Margaret ? Tu n’as pas repassé mon costume ?” criait Steve, son impatience et son mépris palpables dans l’air déjà tendu de leur domicile. Les attentes irréalistes pesaient lourd sur les épaules de Margaret, laissant son esprit en quête d’une échappatoire qui semblait hors de portée.

Le conflit atteignait son apogée lorsque Alice bloquait le passage de Margaret, désespérée de rejoindre son bébé en pleurs, avec un sac de courses. “Nous n’avons plus de lait ni de légumes… Va à l’épicerie avant qu’il n’y ait trop de monde”, exigeait-elle, ignorant délibérément les besoins immédiats de l’enfant. La tension entre le devoir maternel de Margaret et les exigences irréalistes de sa belle-famille créait une atmosphère étouffante, la jeune mère se retrouvant prise au piège dans un tourbillon de responsabilités conflictuelles.

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