J’en ai trois, que j’aime autant. Mais il y en a un dont j’ai été obligé de faire le deuil. Il n’est pas mort, il est vivant, mais il n’est plus là. Ni pour moi, ni pour ses sœurs.

Une rupture qu’il a beaucoup de mal à vivre : “C’est très difficile à vivre et c’était tout à fait inattendu. Je l’ai vu cinq minutes au mariage de ma fille en 2015. Et sinon, je ne l’ai plus jamais vu. S’il veut revenir, il va falloir qu’il se magne un petit peu le cul, parce que ça va être tard, après. Mais il a toute ma détestation et tout mon amour.” Le message est passé.

© Capture d’écran France 2

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