Crédit : eddenya
Le mal de tête, tout le monde connaît ! Mais parfois, il ne s’agit pas de douleurs passagères mais d’un véritable calvaire… Certaines personnes voient leur vie gâchée par la migraine. Malgré cela, le fatalisme et/ou l’ignorance conduisent à une minimisation et un non-diagnostic. Sachez distinguer les simples maux de têtes des vraies migraines.

1 – MAL DE TÊTE DE SINUS
Le mal de tête de sinus est provoqué par l’habillage de la pression dans les sinus dans le nez, le front et les joues, menant à une douleur profonde qui devient plus sévère avec les mouvements subits ou la tension de la tête.

La demande de règlement idéale pour le mal de tête de sinus dépend de la cause et de la gravité de la sinusite et peut comprendre les analgésiques, les antibiotiques, les antihistaminiques, les décongestionnants ou les corticoïdes simples.

2 – LA CÉPHALÉE DE HORTON
Ce mal de tête très rare provoque une douleur insoutenable et touche moins de 0,1% de la population, les hommes trois fois plus que les femmes. Il apparaît généralement entre 20 et 40 ans, et sa cause exacte n’est pas bien définie. Les plus récentes recherches indiquent qu’une anomalie de l’hypothalamus pourrait être en cause. C’est cette glande, contrôlant la production de plusieurs hormones de même que les cycles d’éveil et de sommeil, qui activerait les nerfs responsables de la douleur.

Les symptômes

«Il s’agit d’un mal de tête atroce, signale Élizabeth Leroux. La douleur est ressentie d’un seul côté de la tête, sur un oeil ou sur une tempe. L’oeil devient rouge et il coule. La paupière se ferme et le nez coule. L’intensité de la douleur est si forte que certaines personnes pensent à se suicider durant la crise, c’est pourquoi on la surnomme aussi “céphalée du suicide”. Ce mal de tête survient à des périodes précises de l’année pendant quelques semaines ou quelques mois. Les crises durent de 30 minutes à trois heures. Elles peuvent survenir un jour sur deux ou se répéter jusqu’à huit fois par jour.»
Les déclencheurs

Chez les personnes affectées, la consommation d’alcool peut déclencher une crise.

Les traitements
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