Évidemment, ces photographies racontent beaucoup de l’histoire du quartier. Il s’agit presque d’une étude sociologique ! Certains clichés de Yehven Kotenko sont attendrissants et touchants, d’autres sont beaucoup plus perturbants et violents.

Dans une interview accordée au média RFE/RL, Yehven Kotenko raconte sa méthode d’approche, très primaire qui s’apparente à celle du documentaire :

Je n’ai pas fixé d’objectifs ou de limites, je suis simplement allé dans la cuisine et j’ai regardé par la fenêtre
Des réactions mitigés

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