Pourtant, Hanouna a tranché le débat en confirmant que les membres du jury recevront bel et bien une compensation financière pour leur contribution.
À quelques jours du couronnement tant attendu de Miss France, les projecteurs se braquent sur une controverse inattendue : le cachet des membres du jury. Le choix des figures influentes qui détermineront la reine de beauté suscite des remous dans les médias. Le 16 décembre, le Zénith de Dijon sera le théâtre de cette cérémonie grandiose, et bénéficiera de la présentation toujours élégante de Jean-Pierre Foucault.
UN CHOIX DE JURÉES QUI POSE QUESTION
L’événement de cette année s’annonce exceptionnel, non seulement par la diversité des candidates mais aussi par la composition exclusive du jury entièrement féminin. Aux côtés de Nolwenn Leroy, des personnalités de renom comme l’actrice Stéfi Celma, la mannequin Adriana Karembeu, la cheffe pâtissière Nina Métayer, la boxeuse Estelle Mossely, et l’humoriste Élodie Poux auront la lourde tâche de désigner la prochaine Miss France.
Pourtant, cette sélection n’a pas manqué de susciter des commentaires mitigés. Lors de son émission Touche pas à mon poste le 4 décembre, Cyril Hanouna a soulevé des interrogations sur le manque de notoriété des membres du jury. Gilles Verdez a exprimé son scepticisme : « Pour le grand public, ça manque de grands noms. Ça ne va pas peser très lourd, on va se dire : ‘qui sont ces gens ?’ Je trouve que pour un jury de Miss France ça manque un peu de charisme emblématique. »