Si d’habitude, elle se montre assez enjouée, cette fois-ci Marianne James, la mine grave a voulu relayer un message fort axé sur la sécurité routière. « Vous êtes formidables, mais aujourd’hui non, je vais vous parler de quand vous n’êtes pas formidables… Quand vous êtes franchement dégueulasses quoi », a alors lâché Marianne James pour annoncer la couleur quant à sa tirade. « Je suis obligée de le raconter, c’était courant juillet ». Ni une ni deux, la principale intéressée en a profité pour en dire davantage sur son itinéraire qui aurait pu virer au drame : « Je prends la déviation poids lourds à Montélimar vers les 14h30 avec ma petite voiture. Je roule à 70 Km/h. C’est la vitesse autorisée et il y a une grande ligne droite de plus d’un kilomètres ». Étant seule dans un premier temps seule sur la voie, quand soudainement, un automobiliste lui a causé une sacrée frayeur.
MARIANNE JAMES A VU SA VIE DÉFILER
« Je vois arriver une voiture blanche allemande, puissante, tunée, surbaissée (…) », a précisé Marianne James encore très marquée par cette mésaventure et de compléter : « Là comme ça, des mecs qui arrivent. Oui c’était des mecs ! Ils arrivent à 150 à l’heure comme ça et pour s’amuser vraiment ». Visiblement, les individus totalement imprudents souhaitaient de plus lui faire peur. À ses yeux pour eux, c’était « un jeu ». « Dans les cinquante derniers mètres, ce qui va très vite quand il y en a un qui roule à 70 Km/h et l’autre à 150 », a indiqué Marianne James avant de souligner que ces derniers avaient brusquement changé de voie.
« Vraiment, ils se mettent face à moi, comme dans Fast and Furious, voilà et (…) limite au dernier centimètre, parce qu’il (ndlr : le conducteur) savait très bien conduire, évidemment ! Il a rectifié le tir, et il est retourné sur sa voie ». De peu, un accident de la route aurait donc pu se produire ! « Cette voiture qui m’arrive dessus et qui se dégage, je n’appellerai pas ça carjacking, ceux qui volent des bagnoles. Mais, car frightening, c’est à dire faire peur avec sa bagnole ». Très choquée, Marianne James a fini par s’arrêter sur le bord de la route pour reprendre ses esprits : « J’ai pleuré, parce que j’ai vraiment eu très peur (…). J’avais la chair de poule ». Au lendemain de cette grosse frayeur, Marianne James a également eu une poussée d’urticaire ! Son regret ? Ne pas avoir pu relever la plaque d’immatriculation de l’individu… Un cri du cœur qui a bouleversé la Toile.