“Faut qu’ils arrêtent ils sont en train de nous tuer”
“Heureusement qu’on a eu de l’aide”, contre-attaque Patrice. “J’en peux plus, lâche Justine qui ne s’attendait pas à de la résistance. On a besoin de souffler et de se retrouver en couple”. Le sentiment de Patrice à la fin de cette journée est clairement mitigé. “Ce déménagement a généré quelques petites tensions. J’aimerais que Justine soit un peu plus patiente dans certaines situations”, déclare-t-il tandis que Justine met dehors les trois volontaires sitôt le camion vidé. “Ah ben y’a pas de petit pot de départ ? Non ? Bon !”, demande Karine Le Marchand faussement ingénue en voix off.
En réalité Justine a encore un projet, planter un rosier sous les fenêtres de la maison. Un projet pour lequel l’infortuné Patrice va se balader pendant une heure 5 cm plus à gauche et 7 cm plus à droite pour satisfaire sa dulcinée avant de réaliser que la terre est trop dure pour être creusée. “Je suis conscient que je ne peux pas tout accepter”, assure alors le tendre Patrice “faut que je lui parle vraiment quand ça va pas maintenant ça va quand même être difficile parce que je suis attaché à elle…” Pourtant Justine va heurter les sentiments de Patrice – une sombre histoire de pelle (encore une) – qui va faire dire à Karine Le Marchand : “Même avec des mon coeur, on ne fait pas tout passer. Patrice est chahuté dans ses habitdes et il faut peut-être y aller tout doux Justine”. Aïe !
© D.R L’amour est dans le pré