Dans votre portrait, vous expliquez qu’il a fallu attendre que la production de The Voice croit en vous, pour que vous-même vous y croyiez…
Je n’ai jamais eu de retours négatif sur ma voix. Malgré tout, j’ai toujours douté de l’objectivité de mon entourage. Ils n’auraient jamais osé me dire que je chantais mal si ça avait été le cas. J’avais donc besoin d’un avis extérieur et que des professionnels me confirment que j’avais ma place dans ce métier.
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Que représente l’émission pour vous ?
Enfant, c’était mon rêve ultime. Je regardais The Voice en me disant qu’un jour, moi aussi j’y serais. Le soir, dans mon lit, je m’imaginais sur scène en chuchotant pour qu’on ne m’entende pas chanter. Ça m’arrivait encore de faire ça il y a un an. [Elle rit]
