«Ce n’est pas assez», a-t-il surenchéri. Si certains s’en accommoderaient volontiers, lui a des idées plein la tête : «Oui, il me faudrait plus parce qu’on a des envies, des besoins.» Se disant «insatiable», il revendique sa volonté d’investir. «J’ai envie de créer une entreprise. J’en ai déjà une, j’aurais envie d’en créer une deuxième», a détaillé le spécialiste économiste. Selon lui, «les faux-culs» sont légion dans ce milieu. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’en fait pas partie.
Jean-Marc Sylvestre est millionnaire
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