Nous sommes allés en Argentine plusieurs fois les voir. On a même acheté une maison à la campagne tout près de chez eux. On a eu une très belle période comme ça où on se voyait le dimanche pour le poulet dominical. Depuis, on ne s’est jamais quittés”, nous livre-t-elle. Elle a donc assisté, de près, à cette histoire si singulière qui unit le couple Pagny et raconte comment celle-ci est dépeinte dans le documentaire. “Florent raconte des faits, mais il ne disserte pas sur l’abécédaire de l’amour qu’il porte à sa famille. On voit bien que c’est une valeur importante chez lui, dès l’enfance.
Dans ce documentaire, on ne soucie pas d’aller dans le sensationnalisme. On est dans la nuance, je l’espère. On va chercher des choses fortes, qui nous procurent des émotions, telles que Florent les raconte. Mais on ne va pas aller remuer ce qu’il n’a pas raconté. Après, comme on est amis, il n’avait pas besoin d’aller dans les détails”. Pour autant, si “Florent n’est pas quelqu’un qui va s’appesantir, l’amour est là, c’est super, il n’arrête pas de dire du bien de sa femme et ils sont vraiment un couple extraordinaire. Cet amour est fondamental. Mais une fois qu’il l’a dit, il va vers d’autres sujets”, ajoute-t-elle.