Comme l’a rapporté BFM TV, au vu de “la complexité de l’affaire”, l’ouverture d’une information judiciaire a donc été annoncée dans un communiqué et deux juges d’instruction du pôle d’Aix-en-Provence ont été saisis dudit dossier. Mais que cela change-t-il concrètement pour l’avancée de l’enquête ? Ces juges vont “mener une enquête permettant de rassembler des preuves, rechercher les auteurs d’infractions et établir la vérité” dans l’affaire, comme l’a souligné le site officiel de l’administration française. À noter également que le procureur de la République a appelé à signaler tout élément utile à l’enquête sur l’adresse électronique suivante: disparitionemile04@gendarmerie.interieur.gouv, et non plus sur la ligne téléphonique précédemment utilisée.

“Aucune piste ne peut être exclue”
Après de longues recherches sur le terrain, les enquêteurs ont donc entrepris “l’exploitation de la masse considérable d’éléments collectés la semaine dernière, s’agissant notamment de près de 1600 lignes téléphoniques ayant borné dans le secteur au moment de la disparition”, comme l’a rappelé Rémy Avon dans le communiqué. “1400 signalements téléphoniques ont été traités suite à l’appel à témoins lancé dès le 9 juillet”, a-t-il ajouté, montrant ainsi la complexité de cette affaire autour du petit Émile. L’avisé a également indiqué que “toutes les pistes restaient envisagées, aucune n’étant ni exclue, ni privilégiée” à ce jour pour expliquer la disparition de l’enfant. Affaire à suivre,donc.

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