FAROUK FERAIT UNE DÉPRESSION
Quant à Farouk, sa mère préfère aujourd’hui qu’il arrête l’école plutôt que de céder à ce chantage : “J’ai essayé de le préparer en lui disant qu’un jour, pour son éducation, il devrait couper ses cheveux. Je pensais qu’il se ferait une raison mais sa passion pour sa coiffure s’est intensifiée. Il est terrifié. Il m’a dit que si on lui coupait les cheveux, il ferait une dépression”, s’alarme-t-elle.

FAROUK FERAIT UNE DÉPRESSION
Quant à Farouk, sa mère préfère aujourd’hui qu’il arrête l’école plutôt que de céder à ce chantage : “J’ai essayé de le préparer en lui disant qu’un jour, pour son éducation, il devrait couper ses cheveux. Je pensais qu’il se ferait une raison mais sa passion pour sa coiffure s’est intensifiée. Il est terrifié. Il m’a dit que si on lui coupait les cheveux, il ferait une dépression”, s’alarme-t-elle.

Farouk James, jeune londonien d’aujourd’hui 11 ans et star des réseaux sociaux, s’est vu refuser l’accès à plusieurs écoles à cause de sa chevelure jugée trop longue. Sa mère, indignée par cette décision, a décidé de lancer une pétition pour alerter le parlement britannique sur cette injustice. Une question qui fait débat jusqu’aux Etats-Unis.

LES CHEVEUX DE LA DISCORDE
Farouk James était encore élève en primaire quand sa mère Bonnie Miller s’est mise en quête de lui trouver un établissement pour ses études secondaires. Et au moins trois écoles ont tout simplement refusé l’admission du jeune londonien à cause de la longueur de ses cheveux.

L’une des écoles à s’être opposée à l’inscription du jeune Farouk est la London Oratory School, où le fils ainé de Bonnie est scolarisé. Ce dernier avait lui aussi eu des problèmes car « ses cheveux étaient trop courts (…) il a failli être exclu de l’école, au point que je suis allée au magasin de chaussures et ai acheté du cirage à chaussures » a raconté la maman sur CBS.

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