Depuis, l’eau est loin d’avoir coulé sous les ponts puisqu’Anthony Delon annonçait aujourd’hui, mercredi 3 janvier, dans un article de nos confrères de Paris Match avoir déposé une main courante, en novembre dernier, contre sa soeur Anouchka Delon. Il l’accuse, en partie, d’avoir été la complice d’Hiromi Rollin. Il reproche à sa soeur d’avoir caché les résultats des tests cognitifs de leur père qui démontrent “une dégradation cognitive” , le plaçant dans une “position de faiblesse psychologique et donc de vulnérabilité”. Il déclarait : “Ce qui pour moi est grave, c’est que, connaissant les agissements de Mme Rollin, elle nous ait dissimulé la détresse dans laquelle se trouvait notre père. En gardant le silence, elle l’a clairement mis en danger. Pour moi, cela la rend indirectement complice de tous les abus et violences dont il a été la victime”.
“C’est mon dernier Noël”
Concernant l’état de santé de son père, dont les nouvelles se font de plus en plus rares, Anthony Delon a choisi la carte de la transparence : “Il ne va pas bien”, a-t-il avoué, tout d’abord. Et de détailler : “Il est affaibli, il en a marre. Il ressent aussi toutes ces tensions autour de lui et je pense que ça le peine”. Il en remettait une couche concernant Anouchka Delon et son absence à Noël : “Regardez, ma sœur n’est pas venue passer Noël avec nous, ça l’a aussi beaucoup affecté. Pourtant il y a de forts risques que ce soit son dernier”, a-t-il révélé à Paris Match. Et de faire une triste confidence : “Il a d’ailleurs dit à Sophie, la mère de mes filles qui a fait l’aller et retour dans la journée pour l’embrasser : ‘C’est mon dernier Noël, tu restes ?’ Elle avait prévu de passer Noël avec ses deux autres enfants, elle a quitté Douchy les larmes aux yeux”.
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