Après des débuts très remarqués, la Suisse l’engage pour les représenter au concours de l’Eurovision en 1988. Elle gagne haut la main la compétition avec son tube Ne partez pas sans moi. À partir de ce moment-là, Céline Dion se met à l’anglais et entame une carrière internationale. Elle chante depuis dans les deux langues, toujours avec autant de succès.
COMMENT OUBLIER MY HEART WILL GO ON, LA CHANSON PHARE DE TITANIC, EN 1997 ?
Côté cœur, la chanteuse a connu le grand amour avec son manager et mentor, René Angelil. Les tourtereaux se sont mariés en 1994, ce qui avait fait un petit scandale, car ils avaient 26 ans d’écart.
DU CHANGEMENT DEPUIS LA MORT DE RENÉ ANGELIL
Le succès de Céline Dion est en grande partie dû à son mari René Angelil, cela n’est un secret pour personne. L’homme aimant, père de ses trois enfants, l’a poussée à se surpasser, et en a fait la star qu’elle est aujourd’hui. René a entraîné Céline comme une véritable athlète. La chanteuse a d’ailleurs effectué plusieurs marathons musicaux. Elle a en effet enchaîné plusieurs résidences à Las Vegas qui ont duré des années. Elle s’y est produite pratiquement tous les soirs. En plus de ça, Céline Dion a enchaîné les tournées internationales. Elle a tout de même eu le temps d’avoir des enfants et de les éduquer, ce qui n’est pas rien !
En 2014, la chanteuse met un gros coup de frein à sa carrière. Son mari René est gravement malade, et elle souhaite rester à ses côtés. En janvier 2016, René Angélil décède. C’est évidemment un gros coup dur pour la chanteuse. Pourtant, 3 jours après les obsèques, elle remonte déjà sur scène. Elle sort également l’album Encore un soir, en hommage à son mari disparu, qui devient numéro 1 des ventes en France, au Canada, en Belgique, et en Suisse. En 2017, elle repart même en tournée européenne qui se déroule à guichets fermés. Son dernier album en date, Courage, date de 2019. Depuis, la pandémie de COVID-19 a empêché toute représentation publique. Alors qu’il est de nouveau temps de remonter sur scène, Céline Dion est aux grands absents…
