Il s’agit d’une femme guadeloupéenne vivant à Paris au moment de l’envoi du courrier analysé. Déjà condamnée pour escroquerie, elle a été identifiée en janvier 2021 et a reconnu les faits. Il aura fallu attendre plus de deux ans pour que cette information soit rendue publique. L’autrice identifiée demeure sans lien avec le reste de l’affaire du petit Grégory. Son ADN a été retrouvé sur un courrier reçu le 24 juillet 1985 par les grands-parents du petit garçon tuée, Monique et Albert Villemin. “Je vous ferez [sic] à nouveau votre peau à la famille Villemain [sic] […]. Prochaine victime, Monique”, menaçait le courrier en question.

Affaire du petit Grégory : pourquoi “l’ADN de parentèle” pourrait tout changer
Cette avancée de l’enquête a été permise par des recherches en “ADN de parentèle”.

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