INTERVIEW. Véritable temps fort de la quatrième soirée des auditions à l’aveugle de The Voice 2024, ce samedi 2 mars sur TF1, la prestation d’Auna a impressionné les cinq coachs. Pour Télé-Loisirs, la candidate de 23 ans est revenue sur son expérience sur le plateau du télé-crochet.
Un choix cornélien. Il n’est jamais évident pour un talent de trouver LA chanson qui le représentera le mieux lors des auditions à l’aveugle de The Voice. Et Auna, l’une des candidates de la treizième saison, le confirme. La Toulousaine faisait partie des chanteurs en herbe venus tenter leur chance devant les coachs, lors du quatrième épisode du télé-crochet diffusé ce samedi 2 mars sur TF1. Dans une interview donnée à Télé-Loisirs, la jeune femme est revenue sur son parcours, les raisons de sa participation à l’émission – qui a déjà révélé plusieurs artistes prometteurs, à l’instar d’Alphonse, cette édition – ainsi que sa prestation sur le plateau.
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Télé-Loisirs : pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours ?
Auna : J’ai 23 ans et je suis Toulousaine. J’ai fait beaucoup de petits boulots dans ma vie. J’ai été vendeuse en boulangerie, commis de cuisine, serveuse, manageur dans un restaurant…. Je me suis rapidement lancé dans la vie active car j’ai compris très tôt que les études n’étaient pas pour moi. J’ai également fait beaucoup de rugby. Ça a été une grosse partie de ma vie pendant sept ans. Au fil de toutes ces expériences, j’ai rencontré des gens qui m’ont toujours confortée dans l’idée que je devais faire de la musique. C’est pour ça que je suis dans The Voice aujourd’hui.
Comment est née votre passion pour la musique ?
C’est grâce à mes parents, Stéphane et Laurence. Ils m’ont inculqué une très bonne culture musicale qui va des années 40 à aujourd’hui. Des groupes comme U2, Police ou encore The Cure m’ont énormément marquée. Aretha Franklin et Otis Redding m’ont aussi pas mal influencée voire même sauvée à certains moments de ma vie, quand j’avais des coups durs et des doutes. La musique m’accompagne quelque soit l’émotion que je vis, heureuse ou malheureuse. Ça maintient mon moral et m’aide à rester solaire.
